Théâtre de La Parfumerie – Genève
Du 21 avril au 10 mai 2015
19h30 (mardi au samedi) – 17h (dimanche)
Rés. 022 341 21 21 /

Je suis un saumon
de Philippe Avron

Conception et jeu : Patrick Mohr
Musiciens : Denis Favrichon, Tanjia Müller, Aurélien Gattegno
Conseiller mouvement : József Trefeli
Direction d’acteur : Yvan Rihs
Lumière : Aurélien Gattegno
Scénographie : Jean-Louis Perrot
Costumes : Eléonore Cassaigneau
Mapping : Gabriel Bonnefoy
Enfants « saumon » : Arsène Landerberg, Esteban Gisler, Emilio

 

Emission VERTIGO / RTS La 1ère animée par Pierre Philippe Cadert – 15.04.15 :

 

Pour poursuivre son travail à la frontière des arts du récit, du théâtre, de la musique et du mouvement, Patrick Mohr se lance le défi de se réapproprier librement ce merveilleux texte de Philippe Avron, accompagné par trois musiciens polyinstrumentistes (contrebasse, guitare, flûtes, hang, violoncelle, basse, accordéon, percussions…) :
Denis Favrichon, Tanjia Müller et Aurélien Gattegno.
Patrick Mohr danse sur le fil des mots dans le sillage de son illustre prédécesseur, et nous conte avec un humour savoureux et une infinie tendresse la vie des salmonidés.

« Près de trente ans plus tard, ces Récits de femmes merveilleusement portés par les trois comédiennes, et mis en scène par Michele Millner et Naïma Arlaud, n’ont pas tout à fait perdu, hélas, de leur acuité. Une jolie manière artistique de scander un message fort face à la résurgence du mouvement anti-avortement à l’échelle de l’Europe. »

Cécile Della Torre, 30 janvier 2015

« Tout le spectacle a ce mérite, d’être porté par trois actrices sensibles, batailleuses juste ce qu’il faut, souples dans le raccourci comme dans l’adresse. La force de conviction est parfois une vertu théâtrale. Au seuil de la soirée, toutes de noir vêtues comme des bateleuses, elles promettent au public : « Un spectacle féministe. Mais drôle. » La promesse est tenue. A la sortie, Franca Rame bourdonne dans les oreilles. Cette femme ouvre des portes, dans l’espoir d’un courant d’air révolutionnaire. On aimerait qu’elles claquent plus souvent.»

Alexandre Demidoff, 30 janvier 2015