d’après Bertolt Brecht

Mise en scène:

Michele Millner

Assistée de:

Mia Mohr

Musique:

Sylvain Fournier

Lumière:

Aurélien Gattegno

Régie:

Eric Caruzzo

Jeu:

Raphaël Archinard, Jérémy Benzakein, Coralie Bechtold, Juliette Boulliane, Elsa Cerf, Mathieu Croizier, Ghala Dorig, Eloi Favre, Judith Goudal, Ulysse Goudal, Robinson de Montmollin, Léo Mohr, Karine Pfenniger, Manon Pignolo, Sanjay Rai, Pauline Rossé et Nora Cupelin

Création au Théâtre de La Parfumerie du 30 juin au 4 juillet 2010
Reprise au Théâtre de La Parfumerie du 30 août au 4 septembre 2011

Ce qui nous accompagne tous à travers peines et joies, exils, amours et séparations, ce sont les parfums et les goûts de notre enfance. Albahaca, basilic en français, est le roi des herbes du jardin au Chili. On l’utilise dans tous les plats, de la plus humble sopa de porotos aux mets les plus raffinés. C’est à une création très personnelle et en partie autobiographique que Michele Millner nous convie, à partir de ses propres textes qu’elle a puisé dans ses souvenirs et ses journaux et dans des conversations avec d’autres femmes de sa génération. Autour de la mémoire, ces témoignages seront le fil rouge d’un spectacle musical inspiré par les poèmes de Pablo Neruda et de Gabriela Mistral, ainsi que les chansons de Victor Jara. Car comment alléger le chagrin de l’exil, si ce n’est en chantant, autour d’un bon repas ? Si vous souhaitez partager un repas sur scène avec les artistes à l’issue du spectacle, vous pourrez réserver votre couvert.

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Conception, écriture et mise en scène
Michele Millner

Assistante
Naïma Arlaud

Scénographie
Michele Millner, Aurélien Gattegno,
Miriam Kerchenbaum

Lumières
Aurélien Gattegno

Jeu et chant
Jeanne Pasquier, Michele Millner, Liliana Moran

Cuisine
Betty Moran

Musique
Yves Cerf (saxophones et kena),
Paco Chambi (guitare et chant), Thomas Toppler (percussions) en 2013, Raul Esmerode (percussions) en 2010

Costumes
Eva Heymann

Coproduction 2010 : Théâtre Spirale / Le Poche – Genève Avec le soutien de la Ville de Genève et de la République et du Canton de Genève.

A télécharger- http://www.theatrespirale.com/wp-content/uploads/2015/03/DP-Chaque-homme-est-une-race_2013-2.pdf – lien

Dossier de presse

D’après les textes de l’auteur Mozambicain Mia Couto

Création: Théâtre Spirale 2008/2009
Tournée: saison 2010/2011 et 2012/2013

En collaboration avec la Cie Deux Temps trois Mouvements en France et la troupe Sò au Mali

Conception, mise en scène

Patrick Mohr

Collaboration à la mise en scène

Hassane Kassi Kouyaté

Comédiens

  • Maimouna Doumbia (Mali)
  • Hamadoun Kassogué (Mali)

Musique

  • Bassita Dao (Burkina-Faso)
  • Baba Kouyaté (Burkina-Faso)
  • Bassirou Sanou (Burkina-Faso) en 2009
  • Ousmane Diarra (Burkina-Faso)
  • Dramane Dembélé (Burkina-Faso) en 2011

Régisseur

  • Tidiane Mballo (Sénégal) en 2009
  • Hélène Giraud (France) en 2011

Création lumières

Michel Faure

La pièce traite de la faim, de la nécessité, de la survie.
De ceux qui partent sans savoir nager à l’assaut de l’océan dans des barques de fortune,
De ceux qui ne peuvent plus attendre,
De ceux qui n’ont plus le choix.

Chaque homme est une race, spectacle tout terrain emmené par d’irréductibles comédiens, griots, chanteurs ou musiciens originaires du Burkina, du Mali, du Sénégal et de Suisse, rassemble trois récits de l’auteur mozambicain Mia Couto. Fantastiques, philosophiques, tragiques et cocasses, ses textes révèlent une infinie tendresse pour l’humanité.

Chaque homme est une race a été créé dans le cadre d’une résidence au Centre Djéliya de Bobo-Dioulasso en 2008.

De Wajdi Mouawad.

Création du 27 juin au 1er juillet 2007 au Théâtre de La Parfumerie
Reprise du 31 janvier au 3 février 2008 au Théâtre de La Parfumerie

Mise en scène et adaptation :

Patrick Mohr

Lumières :

Bertrand Keller

Jeu :

Manuel Araneda, Naïma Arlaud, Nicolas Borzykowski, Laura de Coulon, Sara Kasme, Stellan Martin, Mia Mohr, Jeanne Pasquier et Justine Ruchat

Incendies est une tragédie contemporaine. L’auteur puise à la fois dans l’histoire récente du conflit libanais et dans la mythologie grecque pour construire une forme théâtrale d’une puissance rare.

Témoignages de spectateurs :

 « Je ne suis pas un grand habitué des théâtres… Mais lorsque je vois une pièce comme Incendies, je me dis que je suis vraiment un plouc. Parce qu’un spectacle comme ça fait éclater la distinction entre amateur et professionnel. Car ce qui compte avant tout à mon sens est la qualité et l’intensité de l’expérience vécue par les personnes impliquées, tant sur scène que dans la salle. »

 « Réussir une telle alchimie entre l’horreur et l’espoir, c’est énorme. Arriver à traduire avec une telle vérité les horreurs de la guerre, de la part de jeunes qui ne l’ont vraisemblablement pas vécue directement, c’est très fort. Tenir une telle intensité, une telle profondeur de présence, durant deux heures, ça mériterait tous les Césars et les Molières ! »

 « Je suis reparti, habité par le paradoxe de cette histoire d’amour qui est née dans l’horreur, laquelle horreur est née de l’amour… Je ne suis pas prêt d’oublier cette expérience et je suis convaincu qu’elle restera gravée en moi comme une vibration qui me relie au sens de la vie en même temps qu’elle m’interroge à son propos. »

« La mise en scène révèle toute la richesse des multiples niveaux de lecture sans jamais nous égarer. Au travers de cette pièce, l’histoire devient chair ce qu’aucun manuel ne pourra jamais nous faire vivre. »

« Le spectacle Incendies m’a profondément émue et je tiens à vous faire part de mon enthousiasme et mon admiration devant la magnifique performance de ces jeunes acteurs. »